La lune et moi, restées seules, prenons le frais sur le pont
D’après Kikusha-Ni
J’ai fais plusieurs variations sur ce même haïkus. Alors que je n’en utilise que très peu, l’or m’a paru être nécessaire pour parler de la lune. Ensuite, le noir pour l’obscurité et le recueillement et le blanc pour la lumière.
Cela arrive souvent que je reprenne des mêmes phrases, qui me parlent, me plaisent, dans différents tableaux mais là c’est peut-être la première fois que je fais une série et cela m’a beaucoup plu. Il y a néanmoins un temps entre variation 1 et les autres ; ça se sent, non ?
Moi j’ai un préféré, mais je me suis rendue compte lors du Salon de Palaiseau que ce n’était pas forcément le même que les gens. Alors, votre préféré ?
À propos des haïkus et de mes calligraphies, voir Les haïkus
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Coucou Delphine,
Ce sont les versions 1 et 5 qui me touchent le plus.
Quelle élégance dans le geste !
Merci ! C’est le haïku qui me guide 😉