Catégorie : Monde de l’art

  • Arts et jeux de société

    Arts et jeux de société

    Si, comme moi, vous aimez l’art, l’histoire de l’art, l’univers artistique et que vous aimez aussi les jeux de société, peut-être vous êtes vous déjà demandé quels jeux vous pourriez acheter/emprunter autour de cette thématique. Je vous propose de vous partager mon avis sur ceux que je connais et que j’aime.

    NB : Je n’ai pas voulu faire de classement, je les ai mis par ordre alphabétique.

    Chroni – L’histoire des arts

    Auteur : Grégory Pailloncy

    Chroni est ni plus ni moins un jeu de chronologie. Vous sortez les cartes les unes après les autres et devez les placer au bon endroit sur une frise chronologique contenant les cartes jouées depuis le début du jeu.

    J’ai toujours plaisir à jouer à ce jeu car j’aime à chaque fois redécouvrir les œuvres, très variées, reproduites sur les cartes et à me rendre compte à quel point, parfois, je n’arrive même pas à les placer le bon siècle 😀
    Attention, les cartes sont assez grandes (ce qui est plaisant pour profiter de la reproduction) ; cela prend beaucoup de place.

    Dans une variante beaucoup plus enfantine et sans vraies reproductions, j’ai toujours été tentée par Tempo Chrono dont les illustrations sont si mignonnes !

    On est clairement dans un jeu très simple, vous connaissez déjà quasiment toutes les règles ! (Au point, d’ailleurs, que de notre côté, on a inventé des nouvelles fonctionnalités pour enrichir le jeu.)

    En savoir plus sur Chroni – L’histoire des arts (MyLudo)

    Couleurs de Paris

    Auteur : Nicolas de Oliviera
    Illustrateur : Fabrice Weiss

    Dans couleurs de Paris, vous êtes un artiste peintre de Montmartre.

    Si l’univers de l’atelier du peintre est bien présent (pinceaux, chevalets, etc.), la thématique artistique peut vite être oubliée : les cartes tableaux réels et connus sont jouées sur leur face abstraite où ils ne sont plus que neuf carrés de couleurs.

    Le matériel est correct et agréable. D’un point de vu esthétique, cela reste, à mon goût, assez basique mais pas déplaisant.

    Question niveau de jeu, je le mettrais « amateur ». Ce n’est pas un petit jeu vite installé, vite joué, mais ne présente pas non plus de complexité particulière (bon, il y a quand même des règles à lire mais on n’y échappe que rarement :D)

    En savoir plus sur Couleurs de Paris (MyLudo)

    Kanagawa

    Auteurs : Bruno Cathala et Charles Chevallier
    Illustratrice : Jade Mosch

    Kanagawa nous plonge dans l’univers de l’estampe japonaise. Le but est de réaliser la plus belle estampe possible en faisant l’acquisition de cartes. Mais tout est une question de choix et donc de renoncement !

    Il y a clairement eu un travail esthétique sur ce jeu qui est très agréable à regarder. Tout à été fait pour faire naître une ambiance (matériel et illustrations). Mes yeux y trouvent satisfaction à chaque fois.

    Je le qualifierais de niveau « amateur » : une fois qu’on a lu les règles, il n’est pas très complexe. Il demande juste de rester attentif aux options qui se déclenchent.

    En savoir plus sur Kanagawa (MyLudo)

    Mondrian

    Auteur et autrice : Israel Cendrero et Sheila Santos
    Illustrateur : Pedro Soto

    Mondrian est un jeu où vous utiliserez des lancés de dés pour essayer d’obtenir les cartes pas tant grâce à la valeur du dé, mais plutôt selon où vous avez réussi à le faire arriver. C’est une chouette jeu d’ambiance où l’on s’amuse très vite.

    Si, par contre, vous cherchez un jeu sur l’art, passez votre chemin. La peinture de Mondrian n’est ici qu’un prétexte. Certes, il y a un rapide rapport entre le quadrillage de couleurs et les tableaux de Mondrian, mais c’est vite oublié.

    Le parti-pris graphique est simple mais réussi.

    Il peut se jouer avec des débutants sans problème. Les règles sont courtes et faciles à comprendre. Les parties sont rapides.

    En savoir plus sur Mondrian (MyLudo)

    Museum – Pictura

    Auteurs : Éric Dubus et Olivier Melison
    Illustratrices et illustrateur : Amber Shcarf, Jöelle Drans et Loïc Muzy

    Museum – Pictura est un jeu où vous gérez votre musée en essayant d’y faire rentrer des œuvres. Le jeu met en scène des critères qui donneront plus ou moins de valeur à vos acquisitions.

    Ce que je trouve intéressant, vis-à-vis de la thématique artistique, c’est que l’on joue avec de vrais artistes et de vrais tableaux que l’on retrouve en reproduction sur les cartes.

    Ce qui fait, du coup, que d’un point de vue esthétique il me plaît 😀 Pour les éléments du jeu en lui-même, on est plongé dans une ambiance art déco que je trouve tout à fait réussie. La lisibilité est claire ; seul bémol : le plateau – tout en longueur – se retrouve facilement dans le bon sens que pour une seule personne.

    C’est un jeu que je mettrais dans la catégorie « amateur avancé » car il demande un temps d’apprentissage avec lecture des règles et demande de gérer plusieurs choses à la fois, sans que ça ne soit très complexe pour autant.

    En savoir plus sur Museum – Pictura (MyLudo)

    Voilà. Il existe de nombreux autres jeux sur le thème de l’art (1) (même s’il n’y en a pas assez à mon avis 😛 ). Qui sait, je vous ferai peut-être un autre article sur le sujet un de ces jours si j’étoffe ma ludothèque et si ça vous dit 😉

    (1) Voir, par exemple, la thématique « Arts » de MyLudo

  • Ma balade à la Valencerie

    Ma balade à la Valencerie

    La Valencerie a organisé, fin juin 2024, une exposition balade avec des peintures, sculptures et dessins des élèves de João Sismeiro ainsi que quelques sculptures du professeur.

    Le temps était magnifique et a bien permis de profiter du jardin qui, même quand il n’y a pas d’exposition, regorge de décoration et d’éléments à voir. Voici ce que j’ai retenu, en photos et en croquis (bon, juste deux croquis).

    Panorama d'un jardin arboré où l'on aperçoit un hamac, une balancelle, des tableaux sur chevalets et des sculptures sur socles
  • J’ai vu le musée Guggenheim de New York !

    J’ai vu le musée Guggenheim de New York !

    Depuis qu’un professeur de collège nous en avait parlé pour illustrer un exercice, je rêve de voir le musée Guggenheim de New York, celui conçu par Frank Lloyd Wright, celui qui est en colimaçon. Trente-trois ans après, c’est chose faite !
    Je n’ai pas été déçue (il faut dire que je crois que j’ai regardé tellement de photos de ce musée durant toutes ces années où je m’imaginais que jamais je ne le verrais en vrai que je crois que je ne pouvait pas être déçue). Je le connaissais déjà bien, en somme.

    Si ce musée se révèle être en fait un vrai challenge pour les conservateurs et scénographes, l’idée de faire un musée qui ne soit qu’une déambulation, qu’une promenade parmi les œuvres, sans être interrompus ne serait-ce que par une porte, un étage à franchir, est très séduisante. Cela a donné cette façade reconnaissable entre mille de l’extérieur et cet intérieur principalement organisé autour d’une rampe en spirale nous faisant parcourir l’équivalent de cinq étages tout en douceur.
    Par contre, le sol en pente (et donc la nécessité d’adapter le bas des socles dès qu’on les déplace), les murs qui étaient prévus pour poser les tableaux en position chevalet (très inclinés), le double sens (du bas vers le haut et du haut vers le bas) sont autant de casse-têtes pour les scénographes et conservateurs.

    Mais rien ne peut entamer mon admiration pour ce musée 😀 ! Ces quelques photos réussiront peut-être à vous partager mon enthousiasme :


    Mes autres visites de musées à New York :

  • Au Met, j’ai vu…

    Au Met, j’ai vu…

    J’ai eu la chance de visiter le Met (Metropolitan Museum Of Art, Musée d’art de New York, qu’on qualifie de « Louvre » de New York pour donner une idée de la diversité de ce qui y est exposé et de la taille du musée !).

    Si j’ai voulu me « forcer » à aller voir d’autres choses, je me suis vite retrouver à visiter les salles consacrées à l’art moderne. On ne se refait pas ! Même si, j’aime beaucoup la Renaissance aussi mais même en y passant des heures, on ne peut pas tout voir !

    Voici ce qui a retenu mon attention :

    Quand je pense que tout ça était si peu de choses par rapport à tout ce qu’il y a à voir !


    Mes autres visites de musées à New York :

  • Street art à New York

    Street art à New York

    Voici ce que l’on peut voir, entre autres, en se baladant dans les rues de New York (du moins, ce que l’on pouvait voir en mars 2024 !). Une majorité de ces œuvres ont été vues à Brooklyn.

    Et voici des liens pour retrouver les oeuvres en questions sur les sites des artistes quand j’ai pu les retrouver :

  • Au MoMA, j’ai vu…

    Au MoMA, j’ai vu…

    J’ai eu la chance de pouvoir visiter le MoMA (Museum Of Modern Art, Musée d’Art Moderne de New York). Enfin, une partie seulement parce que c’est grand ! J’ai adoré ma visite ! J’avais fais exprès de ne pas voir quelles œuvres étaient exposées avant d’y aller. Je prenais le risque de partir sans voir des tableaux, sculptures, installations… que j’aurais aimé voir, mais je me suis offert la possibilité d’avoir des surprises. Et quelles surprises !

    Je vous le dit tout de suite, l’apogée de ma visite a été La Nuit étoilée de Van Gogh. Je ne sais pas ce que j’ai avec Van Gogh, je ne sais pas si je me suis laissée monter la tête par tout le bruit qu’il y a autour de Van Gogh ou si ça serait pareil s’il était un obscur petit artiste, mais qu’est-ce que les tableaux de Van Gogh me font de l’effet dès lors que je les vois en vrai ! Celui-ci n’y a pas échappé et à fait naître en moi beaucoup d’émotion !

    Mais j’ai aussi vu beaucoup d’autres artistes que j’aimais (ou que je ne savais pas que j’aimais 😀 ). Seule déception (et de taille), aucune œuvre de Jean-Michel Basquiat n’était visible.

    Voici une petite galerie de ce que j’ai particulièrement aimé :



    Mes autres visites de musées à New York :

  • Icônes au Petit Palais

    Icônes au Petit Palais

    J’ai profité de ma visite de l’exposition « Trésors en noir et blanc » au Petit Palais pour aller les voir, au sein de l’exposition permanente, leurs icônes. Allez savoir pourquoi, j’aime beaucoup les icônes.

    Voici celles qui ont retenu le plus mon attention.

    Notez que vous pouvez retrouver des reproductions des œuvres du Petit Palais dans les collections de Paris Musées

  • La campagne à la mer, Emmanuel Guibert

    La campagne à la mer, Emmanuel Guibert

    Un ami – avec qui je parle souvent d’Art/art, avec un grand ou un petit « a » – m’a prêté le livre de croquis d’Emmanuel Guibert, La Campagne à la mer.

    J’ai beaucoup aimé ce livre. Il y a une forte adéquation entre la modestie dont il parle à propos des croquis dans son introduction et les pages du livre. En effet, on sent qu’il n’y a pas de prétention à « réussir », ni à éblouir quand on feuillette les pages qui sont en fait des pages de carnets de croquis. J’y vois plutôt l’envie de saisir l’instant, le plaisir d’essayer des trucs, ou encore la persévérance à creuser un thème (parce qu’il l’aimait particulièrement ou parce qu’il n’arrivait pas à trouver ce qu’il cherchait ?)

    Ce que j’ai aimé y voir aussi, c’est la diversité graphique. Certes, ces croquis sont extraits de dix ans de carnets. Mais on y trouve tout de même beaucoup de styles graphiques différents et encore plus de variété de techniques (encre, crayon, peinture, pastels ?, aquarelle ?, parfois mélangés).

    Tout cela rejoint tout à fait ma conception du carnet de croquis : un espace de liberté, de plaisir sans se poser de question, de lâcher-prise, de tests, de jeux, de partage.

    « Et puis, le croquis, ça n’est pas intimidant. A vrai dire, il n’intimide ni celui qui le fait, ni celui qui le regarde.« 

    Emmanuel Guibert

    La Campagne à la mer
    Emmanuel Guibert
    Éditions Fururopolis

    À propos des carnets de croquis, voir Un premier carnet de voyage ou encore Quel matériel emporter pour un carnet de voyage ?.

  • Exposition « Trésors en noir et blanc »

    Exposition « Trésors en noir et blanc »

    J’ai profité d’un jour de congé pour aller voir l’exposition « Trésors en noir et blanc » au Petit Palais.

    J’avais vu qu’il y avait des dessins de Dürer ou encore de Rembrandt et je me suis dit que, rien que pour eux deux, ça valait le coup d’aller voir. En plus, le Petit Palais est un musée moins fréquenté et donc plus agréable (même si ça n’est pas toujours vrai !)

    C’était en effet une belle expo. Le dessin n’est pas mon sujet de prédilection quand je vais voir une exposition mais là je savais que je venais quasiment que pour ça. Et il y avait de quoi en mettre pleins nos yeux (si tant est qu’on a une bonne vue ou de bonnes lunettes car il y avait beaucoup de très petits détails, beaucoup de finesse, beaucoup de précision.

    Ces deux dessins, par exemple, font environ cinq centimètres de large :

    Nan mais regardez-les ! Je trouve leurs positions, tout comme leurs visages, tellement rigolos. D’autant plus qu’ils ont l’air de se prendre un peu au sérieux par ailleurs !

    Tout comme ces petits portraits de Rembrandt

    Bon, ça me rappelle bien sûr mon croquis de Rembrandt fait la moue (qui semble être le même dessin que ce « Rembrand fronçant les sourcils » ci-dessus ; probablement juste un tirage différent puisqu’il s’agit d’une gravure.) J’ai toujours trouvé très amusants les autoportraits de Rembrandt. C’est une pure interprétation de ma part, mais j’ai l’impression qu’il s’y amuse de lui-même.

    Voici quelques détails cette fois, mais toujours chez Rembrandt, qui m’ont bien plu :

    Pour Les Trois Arbres, il est peut-être difficile de comprendre ce que l’on voit mais c’est justement ce qui m’a marquée dans ce paysage : ces lignes obliques qui semblent presque abstraites au milieu de ciel.
    Pour le détail du Golgotha, c’est l’arrière-train très rebondi qui m’a amusée ; y compris avec le contraste que cela fait avec la masse cloutée qu’il tient à la main.
    Quand aux Trois Croix, l’ensemble que j’ai pris en photo m’a fait beaucoup d’effet ! Le fait qu’ils ne soient qu’ébauchés leur donne, je trouve, beaucoup d’impact et de puissance et j’ai vraiment beaucoup aimé ce groupe !

    Toute une séries de positions :

    J’ai mis toute cette série ensemble pour son côté « gens du peuple » de la fin du 19e, début 20e.
    Rien que par ce thème là, je crois qu’elles m’ont touchée. Mis à part « La Redoute » de Toulouse-Lautrec et Les Poids de Chahine – où on est dans le spectacle – je trouve que chacun de ces dessins montre puissamment le labeur et la misère.

    Cette dernière série est un peu un vrac de ce qui reste et qui m’a attirée. Les deux derniers – le panneau décoratif et la marine – faisaient partie de la fin de l’expo avec des choses qui n’avaient plus ce même lien graphique qu’avait toutes les œuvres depuis le début.

    Trésors en noir et blanc
    Du 12 septembre 2023 au 14 janvier 2024
    Petit Palais, Paris

  • Quelles couleurs primaires à l’aquarelle ?

    Quelles couleurs primaires à l’aquarelle ?

    Guide pour retrouver les couleurs primaires dans les différentes gammes et marques d’aquarelle.

    Comme on le sait, on peut obtenir toutes les couleurs dont on a besoin ou presque rien qu’avec les trois couleurs primaires. Il est donc conseillé, notamment quand on commence et qu’on ne sait justement pas par où commencer, d’avoir dans sa palette au moins les trois couleurs primaires. Oui mais lesquelles ce sont les trois primaires ? Parce que, on le sait, les marques ne donnent pas toujours le même nom à leur couleurs et n’indiquent pas toujours lesquelles sont les primaires.

    En fait, on peut – mais pas que parce qua ça serait trop simple – repérer les pigments :

    • PY3, PY74 ou PY154 pour le jaune
    • PR122 pour le rouge (ou, en deuxième choix, PV19)
    • PB15 pour le bleu (PB15:6 à tendance rougeâtre et PB15:3 à tendance verdâtre)

    (voir Liste de couleurs (pigments) sur Wikipédia)
    Bien sûr, comme c’est une couleur qui sera destinée à être mélangée souvent, elle est mono-pigmentaire.

    (Et si cette histoire de pigments n’est pas claire pour vous, vous pouvez aller voir l’article Informations techniques des aquarelles à comprendre avant d’acheter)

    Néanmoins, parfois, ce sont d’autres pigments selon les recommandations des marques.

    Trois touches de peinture sur papier blanc : un "rouge" (plus proche du rose), un jaune, un bleu

    Voici donc, ci-dessous, de quoi se repérer ! (nom de la couleur, pigment correspondant et référence)
    Les couleurs marquées * sont celles qui m’ont été directement indiquées par le fabricant.
    Sauf mention contraire, il s’agit d’aquarelles extra-fines.

    Chez Blockx

    • Jaune primaire (PY154) – 4.x.313
    • Quinacridone magenta (PR122) – 4.x.329
    • Bleu primaire (PB15:3) 4.x.152

    Chez Daler-Rowney

    Gamme Artist’s

    • Jaune citron (PY3) – 651
    • Magenta quinacridone (PR122) – 414
    • Bleu de phtalo teinte rouge (PB15) – 139
      Bleu de phtalo teinte verte (PB15:3) – 140

    Gamme Aquafine (aquarelle super-fine)

    • Jaune citron (PY3) – 651 *
    • Vermillon (PR255) – 588 *
      La couleur correspondant au PR122 est le magenta quinacridone – 414
    • Bleu céruléum (PB15 / PW6) *
      La couleur correspondant au PB15 est le bleu de phtalo – 142

    Chez Daniel Smith

    • Jaune Hansa clair (PY3)
    • Quinacridone lilas (PR122)
    • Nuance de bleu de manganèse (PB15)
      Bleu phtalo GS (vert) (PB15:3)
      Bleu phtalo RS (rouge) (PB15:6)

    Chez Isaro

    • Jaune Isaro clair (PY154) – A16 *
    • Bleu phtalo (PB15:3) – A07 *
    • Rouge scarlet (PR255) – A32 *
      et Rose Isaro (PR122) – A27 *
      La couleur correspondant au PV19 est le Magenta – A18

    Pour une palette complète, Isaro conseille en plus :

    • Jaune safran (PY110) -A62 *,
    • Jaune chartreuse (PY129) – A46 *,
    • Ocre jaune (PY42) – A22 *,
    • Rouge de pyrrole foncé (PR264) – A33 *,
    • Bleu outremer (PB29) – A06 *,
    • Bleu de Prusse (PB27) – A03 *,
    • Bleu ceruleum (PB35) – A01 *.

    Chez Lukas

    • Jaune citron (PY3) – 1021 *
    • Magenta (PY122) – 1051 *
    • Cyan (PB15:3) – 1118 *

    Chez MaimeriBlu

    • Jaune primaire (PY97) – 116 *
    • Rouge primaire magenta (PV19) – 256 *
    • Bleu primaire cyan (PB15:3) – 400 *

    Chez QoR

    • Jaune benzimadazolone (PY154) – 126 *
      ou jaune Hansa clair (PY3) – 110 *
      ou jaune vanadate de bismuth (PY184) – 115 *
    • Magenta quinacridone (PR122) – 265 *
      ou rouge quinacridone (PV19) – 235 * si vous préférez
    • Bleu phtalo nuance verte (PB15:3) – 345 *
    Phtalo Blue (Green Shade) 345, Benzimidarolone Yellow 126, Hansa Yellow Light 110, Bismuth Vanadate Yellow 115, Quinacridone Magenta 265, Quinacridone Red 235
    Couleurs primaires QoR

    Chez Royal Talens

    Gamme Rembrandt

    • Jaune azo clair (PY154) – 246
    • Rose magenta quinacridone (PR122) – 368
    • Bleu phtalo rougeâtre (PB15) – 583
      Bleu phtalo verdâtre (BP15) – 576

    Chez Schmincke

    Gamme Horadam

    • Jaune cadium clair (PB35) – 224 *
      ou jaune cadium clair (PB35) – 224 *
      La couleur correspondant au PY3 est le Jaune citron – 215
    • Magenta (PV42) – 352 *
      La couleur correspondant au PR122 est le magenta pourpre – 367
    • Hello céruléen (PB15:3) – 479 *
      Autre couleur correspondant au PB15, le bleu phtalo (PB15:1) – 484
    479 Hello Cerulean (bonne résistance à la lumière, transparent, semi-tenace), 224 Cadium yellow light (bonne résistance à la lumière, semi-opaque, tenace), 352 Magenta (résistance à la lumière correcte, transparent, semi-tenace)
    Couleurs primaires Schmincke Horadam

    Notez que si vous voulez compléter avec des bleus, jaunes et rouges chauds et froids il vous faudra :

    • Bleu de Prusse – 492 * en bleu froid et ultramarine finest – 494 * en bleu chaud
    • Jaune citron – 215 * en jaune froid et jaune cadium clair 224 * en jaune chaud
    • Rouge cadium clair – 349 * en rouge froid et carmin permanent 353 * en rouge

    Gamme Akademie (aquarelle fine)

    • Nuance de jaune cadium (PY151) – 224 *
      La couleur correspondant au PY3 est le Jaune citron clair (PY3) – 16 222
    • Magenta (PV42) – 336 *
    • Cyan (PB15:3) – 448 *

    Notez que si vous voulez compléter avec des bleus, jaunes et rouges chauds et froids il vous faudra :

    • Bleu de Prusse – 445 * en bleu froid et ultramarine – 443 * en bleu chaud
    • Jaune citron clair – 222 * en jaune froid et nuance de jaune cadium 224 * en jaune chaud
    • Nuance de rouge cadium – 332 * en rouge froid et carmin 333 * en rouge

    Chez Sennelier

    • Jaune primaire (PY74) – 574
      à noter, le jaune citron (PY3) – 501
    • Rouge quinacridone (PR209) – 679
      à noter le pourpre hélios (PR122) – 671
    • Bleu phtalo vert (PB15:3) – 326

    Chez St Petersburg – White Nights

    • Citron (PY3) – 214
      Jaune (PY154) – 211
    • Rose quinacridone (PR122) – 324
    • Azur (PB15) – 513
      Bleu (PB15:6) – 515

    Chez Winsor & Newton

    Gamme professionnelle

    • Citron Winsor (PY175) – 722 *
      Le jaune correspondant au PY154 est le jaune Winsor (PY154) – 730
    • Rose permanent (PV19) – 502 *
    • Bleu Winsor nuance rouge (PB15) – 709 *
      Autres couleurs correspondant au PB15 : Bleu Winsor nuance verte – 707 et Nuance de bleu de manganèse – 379
    Winsor Blue (Red Shade), Winsor Lemon, Permanent Rose
    Couleurs primaires Winsor & Newton

    Pour une palette à six couleurs, Winsor & Newton recommande :

    • Citron Winsor (PY175) – 722 *,
    • Jaune Winsor (PY154) – 730 *,
    • Outremer français (PB29) – 263 *,
    • Bleu Winsor teinte verte (PB15) – 707 *,
    • Rose permanent (PV19) – 502 *,
    • Laque écarlate (PR188) – 603 *.

    Et voilà, vous avez de quoi entamer une bonne palette qui pourra déjà vous emmener loin en un minimum d’investissement 😉

    * Information du fabriquant, je remercie d’ailleurs Daler-Rowney, Daniel Smith, Isaro, Lukas, MaimeriBlu, QoR, Smincke et Winsor & Newton.