Catégorie : Pratique personnelle

  • Croquis au Salon d’art

    Croquis au Salon d’art

    À propos voir aussi :

  • Cours de dessin, crayons de couleurs

    Cours de dessin, crayons de couleurs

    Les crayons de couleurs, on connait. Depuis tout petits. Je me suis acheté les beaux Polychromos de Faber-Castell (que je trouve très lumineux), pleins de couleurs. …Et voilà que, à mon cours de dessin, on me dit de n’utiliser que les trois couleurs primaires !
    Autant, mélanger en peinture les trois couleurs primaires pour obtenir les autres, je connais (et je ne suis d’ailleurs par douée), autant, avec des crayons, je n’avais jamais fait !

    C’est pourtant l’exercice qui nous a été demandé et, après avoir fait sa main sur des dégradés d’une puis deux couleurs mélangées, nous avons eu une nature morte à faire, en utilisant toujours que le bleu, le rouge et le jaune.

    Mon résultat, comme d’habitude, manque de contraste mais je suis quand même satisfaite d’avoir été « forcée » de me restreindre à cette palette, d’avoir dû faire des mélanges aux crayons et d’avoir découvert que j’en était tout de même capable.

    (Rien à voir ou presque, mais j’avais mieux réussi mes physalis quand j’étais moins dans la contrainte et plus en zone de confort. Quoi qu’il en soit, c’est un chouette sujet à dessiner, je vous les recommande.)

  • Nouvelle année, nouveau cours de dessin

    Nouvelle année, nouveau cours de dessin

    Mon prof de modelage, João Sismeiro, propose également cette année des cours de dessin. J’avais déjà eu l’occasion de voir son approche lors de séances de croquis au Louvre et j’ai eu envie d’en profiter toute l’année.

    Je n’ai pour l’instant suivi que deux cours mais déjà je trouve les exercices intéressants. João propose notamment de faire des croquis selon une méthode que je ne connaissais pas avant : on ne dessine pas mais on « colorie » le sombre, puis le moins sombre, etc. Au début du croquis, cela ne ressemble à rien, si ce n’est à un amalgame de taches resserrées. Mais l’exercice est vraiment intéressant à faire. Cela oblige à regarder en terme de volume, d’ombre et de lumière ; on a l’impression de partir « sans filet » car sans dessin et le résultat est intéressant.

    Dans un deuxième temps, João a poussé l’observation des ombres à lumière à l’extrême puisque nous n’avions plus droit qu’à une seule nuance : le noir. Il faut alors déterminer entre les zones plus ou moins claires et plus ou moins foncées lesquelles on va traiter en noir, lesquelles vont rester en blanc !
    Là encore, l’exercice est intéressant, nous force à faire des choix et nous permet de voir que, malgré tout, on arrive à ressortir des volumes et du sens.

    Voici une première séance sur une nature morte

    Et voici une séance d’après une reproduction d’un détail du David de Michel-Ange

    Je suis curieuse de voir ce qui nous attend pour la prochaine séance 🙂

    (Pour les personnes proches de Palaiseau (Essonne) qui seraient intéressées, c’est le mardi soir et il reste des places. Contact via l’APSP)

  • Modelage et kraken

    Modelage et kraken

    Encore une journée de modelage, encore une journée réussie !

    Ce n’était pas à la Valencerie cette fois, mais à Palaiseau. Le thème était libre et il y a eu une main, par une débutante plutôt douée, des poissons qui finiront par flotter dans un jardin, un ourson en galipette, des petits personnages et un kraken (créature fantastique ressemblant à un poulpe).

    Comme toujours, João, le prof, a sauté d’élève en élève s’adaptant à chaque fois au sujet, à l’envie et au niveau.

    Une personne intéressée par le modelage est venue voir comment cela se passait et semble avoir été convaincue en quelques minutes de s’inscrire à l’année, voir de venir aux stages d’été. (Si cela vous tente aussi, vous pouvez me contacter et je vous mettrais en relation avec João.)

    Je suis donc, pour ma part, partie sur l’idée de faire un kraken en pensant à un ami à qui j’espérais faire plaisir. C’était la première fois que je m’attaquait à ce sujet et je suis partie sans réellement savoir à quoi il ressemblerait à la fin. J’ai d’ailleurs pris quelques libertés sur les proportions habituellement constatées (mais, après tout, c’est une créature imaginaire, je fais ce que je veux).

    Il faut encore le cuire et j’envisage de le peindre, mais voici déjà quelques photos du kraken en cours de réalisation et en fin de journée.

    Ici les difficultés étaient de faire tenir des tentacules en l’air, d’éviter de faire quelque chose de trop systématique (tentacules trop identiques), de donner le bon mouvement (torsion, aplatissement au sol, etc.), plus mes travers habituels : vouloir aller trop vite ou me perdre dans les détails. Heureusement, João veillait 😉

  • Première peinture à l’huile !

    Première peinture à l’huile !

    J’ai eu l’occasion de tester la peinture à l’huile. Un premier essai à la brosse n’a pas été concluant et la peinture est en suspend. Je la reprendrai peut-être un jour mais le plus probable, c’est qu’elle sera recouverte.

    Cela reste intéressant, quoi qu’il en soit, même de « rater ». Là, par exemple, j’ai raclé la peinture à la fin dans l’idée de refaire… et bien le résultat raclé est plutôt intéressant !

    Le fond brun est brossé tandis que la peinture sur la pomme a été raclée, laissant apparaître la toile teintée et sa trame.

    C’est mon deuxième essai qui m’a, en plus, apporté la satisfaction d’un résultat assez réussi à mon goût.
    Je l’ai fait au couteau. C’est une vanité – cela dit, j’ai quand même focalisé surtout sur le crâne et les autres éléments sont anecdotiques (la pomme) voir indiscernable du fond (l’assiette).

    J’ai adoré les couleurs que j’ai utilisé : jaune de parme, cramoisi d’alizarine et bleu outremer. Plus une touche de terre verte.

  • Livres pour apprendre l’anatomie pour le dessin

    Livres pour apprendre l’anatomie pour le dessin

    J’ai donc voulu reprendre les fondamentaux du dessin et donc, entre autre, l’anatomie du corps humain. Si je ne suis pas débutante, j’ai quand même besoin des bases, du tout début. Il y a beaucoup (beaucoup !) de livres sur l’anatomie pour le dessin ; en voici déjà quelques-uns.

    La collection Leonardo

    On tombe parfois sur ce livre et d’autres de la collection – ou une rééditions – dans les vielles bibliothèque de nos grands-parents. Enfin… « livre »… ces sont plutôt des « fascicules ». Ils continuent à être édités et c’est une bonne chose.

    Pour ma part, je trouve que ce sont de bonnes références à avoir sous la main pour apprendre, vérifier un point, progresser un peu.

    En grand format mais que de quelques pages, ils sont pratiques et peu chers.

    Pour l’anatomie du corps humain et les visages, je vous conseille :

    Réédités de nombreuses fois, on le trouve chez différents éditeurs quand on les cherche d’occasion. Chercher la « Collection Leonardo ».

    La figure humaine – Techniques académiques, Jon deMartin

    Si vous cherchez quelque chose de plus complet mais qui part des bases et ne vous fait pas crouler sous les informations techniques, je vous conseillerais de jeter un œil à ce livre.

    Il vous guidera dès les premiers pas et vous accompagnera ensuite jusqu’à un très bon niveau.

    Éditions Vigot, 175 pp.
    Chez un libraire indépendant

    Morpho : anatomie artistique, Michel Lauricella

    S’il peut être utile en complément d’un livre sur l’anatomie, pour aider à accompagner à l’étape suivante, il n’est pas adapté pour apprendre l’anatomie : pas assez d’explications, trop d’interprétation artistique …comme son titre l’indique.

    Cela semble être un peu la même chose avec les autres « Morpho » Squelette, repères osseux, Formes articulaires Fonctions musculaires et/ou Formes synthétiques.

    Le petit format du livre (poche ou un peu plus grand) le rend pratique à emporter avec soi ou à manipuler sur un petit espace de travail.

    de Michel Lauricella
    Éditions Eyrolles, 320 pp.
    Chez un libraire indépendant

    Anatomie artistique, Jenő Barcsay

    On me la présenté comme étant « la bible » alors je le mets dans cette liste, mais il est difficilement trouvable maintenant.
    Ce livre est en effet très complet, très détaillé. D’ailleurs un peu trop, par rapport à mon niveau, mais très bien pour quelqu’un qui veut pousser plus loin.
    Barcsay était professeur à l’Université hongroise des Beaux-Arts et enseignait l’anatomie artistique à ses élèves.

    Étant très complet, le livre est lourd et volumineux.
    Il ne semble plus être édité (éditions Jacques Fréal) mais peut se trouver d’occasion (cher).

    Si vous préférez apprendre avec des vidéos, j’en ai listé quelques unes dans l’article Reprendre les bases du dessin.
    Vous pouvez aussi jeter un coup d’œil à mes cours de dessin.

  • Pastels secs, comparatif de papiers

    Pastels secs, comparatif de papiers

    Voici quelques tests de papier pour faire du pastel sec. Il y a des papiers recommandés pour le pastel mais aussi d’autres papiers car j’ai voulu tester différents effets de texture. Je trouve qu’il est toujours bon de ne pas respecter « les règles », cela permet de découvrir autrement le médium, d’apprendre par l’erreur et, parfois, de trouver de supers idées !

    Tous les tests ont été fait avec les mêmes pastels (pastel à l’écu Sennelier). Sur chaque essai, le reflet blanc sur la gauche permet de visualiser la superposition des couleurs.

    Mes préférés ? Cela dépendra bien sûr de mon sujet et de l’effet que je voudrais donner mais j’aime beaucoup la texture du « System 3« , celle du « Vergé » (qui ne doit pas être cher, je m’en sors bien) et, dans un tout autre style, l’exceptionnelle texture du « Velour » (qui lui coûte cher).

    Pastell « Velour » 260 g/m² Hahnemühle
    Sa texture velours/peau de pêche est vraiment belle ; en un passage, le pastel couvre quasiment toute la surface du papier.
    Ingres forme ronde 100 g/m² Hahnemühle
    Légèrement texturé, il permet de recouvrir comme de laisser apparaître la trame.
    Vergé Canson
    Sa texture reste apparente même après plusieurs passages.
    System 3 Daler-Rowney
    Très fortement texturé, ce papier initialement fait pour de l’acrylique, fait ressortir une très belle trame, quasi impossible à faire disparaître.
    Papier Paille – G. Lalo
    Papier à trame présente mais qui peut se faire oublier.
    Hand made paper from South India
    Belle trame qui permet de beaux effets.
    Harmony watercolour, collé en surface, 300 g/m² Hahnemühle
    Cette trame, faite pour l’aquarelle, est très (voir trop ?) présente.
    Akademie « Andalucia » Aquarelle 500 g/m² grain torchon Hahnemühle
    Très beau papier pour de l’aquarelle, la texture ici avec le pastel sec est belle et peut donner des effets intéressants

  • Reprendre les bases du dessin

    Reprendre les bases du dessin

    J’ai fais des études d’arts plastiques, pas d’arts appliquées et n’ai jamais fais d’art académique. Cela me correspond bien, je cherche l’expression personnelle essentiellement dans ma pratique, pas la technique.
    Mais il y a un mais : ces derniers temps, en regardant mes croquis, je constatais toutes mes erreurs (notamment grâce à un œil externe, c’est toujours bon de faire critiquer son travail 😉 ). Une perspective en contre-plongée qui s’est avérée ridicule, des ombrages impossibles, des visages esquivés dans tous mes nus car je ne sais pas faire, etc.

    Et autant la technique ne m’a jamais trop intéressée – et il est vrai que j’aurais pu corriger ces défauts, au fur et à mesure, sur de longues années 😀 – autant, cela m’a pris d’un coup, j’ai décidé de revoir les bases du dessin !

    Choisir le carnet d’exercices de dessin

    On peut tout à fait utiliser un seul et même carnet pour les croquis et pour les exercices de dessin ; ces deux pratiques peuvent d’ailleurs se confondre. Pour ma part, j’ai voulu séparer tout simplement parce que pour les croquis j’ai besoin de papier épais et je trouvais que ça aurait été “gâché” de le prendre pour des exercices en série au crayon.

    Du coup, j’ai choisi un format plus grand que mon carnet de croquis, qui lui tient dans mon sac, et me voilà avec un Moleskine qui attendait dans ma pile de carnets.

    Je sais que beaucoup de gens ne jurent que par le Moleskine. Pour ma part, il correspond rarement à mon usage. Je n’aime pas, par exemple, la réaction du papier avec l’aquarelle.
    Même en ne travaillant qu’au crayon, on voit les dessins en transparence. Pour un carnet d’exercices, cela ne me dérange pas trop et si un revers de page est déjà très marqué, je l’utilise pour faire des “exercices de poignet” : lignes droites, ronds qui soient vraiment ronds, etc.
    Plus gênant, j’ai tracé des traits au stylo, probablement en appuyant un peu mais pas comme une folle non plus, et le trait se voit sur les deux feuilles suivantes. J’ai donc découpé une feuille de brouillon au format du carnet pour la mettre derrière la page sur laquelle je suis en train de travailler.

    Par contre, il est vrai que les pages, la “glisse” sur les pages est très agréable.

    J’ai pris une photo lumière rasante pour qu’on se rende bien compte du volume du tracé au stylo du verso sur le recto.

    Trouver des exercices, des leçons

    Bien sûr, le top du top, c’est un cours particulier avec l’œil et les conseils d’un professeur. Il y a des livres, pléthore de livres …et je n’en ai aucun ! Je me suis donc tournée vers les vidéos en ligne ; qu’est-ce qu’on apprend grâce à ce partage, que c’est chouette cette transmission du savoir à tous <3.

    Les bases du dessin à apprendre

    Je ne suis pas experte du sujet, vous l’aurez compris, mais il me semble que pour tous les bases sont un peu les mêmes : les valeurs, pour savoir donner du volume et la perspective, pour savoir créer un espace. Derrière ces deux notions se cache beaucoup de complexité, d’apprentissage du regard (transcrire des choses en 3D devant soit sur une surface en 2D pour redonner cette illusion de la 3D à celui qui regarde ; comprendre la lumière, les reflets, les matières ; comprendre les points de fuite, la perspective atmosphérique, le fonctionnement du regard, etc.)
    Si on veut traiter des figures humaines, il faut ajouter l’anatomie du visage et du corps. Puis comment donner vie à tout ça, le mouvement, les articulations des différentes parties, la norme et la réalité, etc.

    Je ne me mets pas la pression et j’apprends tout ça en vrac, en fonction de mes envies.
    Ce que j’ai appris (ou revu) jusque là (je vous ai mis des liens à chaque fois mais ce sont des exemples, suivez les modèles (prof, livres, vidéos, etc.) qui vous conviennent à vous) :

    • Se sensibiliser sur les différents « plans » du visage pour savoir ensuite y mettre les ombres et lumières
      Marc Laisne ART-venture
    • Schématiser le visage pour y retrouver les proportions (à adapter ensuite au modèle qui a un vrai visage, pas un visage de normes 😀 ) – le visage « casque » de la méthode Loomis
      Proko
      (J’ai aussi jeté un œil à la méthode Reilly mais cela va trop loin pour moi pour l’instant)
      Adjag2
    • Les différentes lumières et ombres (rehaut, demi-ton, ombre propre, lumière réfléchie, ombre portée)
      Fabienne Coz, ArtCademy Atelier
    • Faire des surfaces de différentes valeurs (un exercice que j’aime beaucoup depuis toujours)
      Fabienne Coz
    • Dessiner un crâne pour mieux poser les ombres et lumière par la suite (il faut aussi voir les muscles, c’est prévu)
      TutoDraw
    • La perspective à deux points de fuite sur laquelle j’essaye ensuite de poser les ombres et lumières
      Ralph Ammer

    À porter mon attention sur ces éléments que je fais d’habitude passer au second plan, je fais moins d’erreurs. Et, petite victoire, alors que je faisais une séance de nus hier (donc des croquis libres et sans nécessairement penser bases du dessin d’autant plus que c’était des temps de pose courts), j’ai mis naturellement une ou de choses en application et me suis lancée dans un visage 😉

    Vous aurez peut-être aussi envie de jeter un œil à cette liste de Livres pour apprendre l’anatomie pour le dessin ou suivre mes cours de dessin.

  • Croquis à l’expo Autour du noir

    Croquis à l’expo Autour du noir

    Aux dernières expo où je suis allée (et c’est vrai pour d’autres expo, si j’ai le temps et l’envie), j’avais fait des croquis : Croquis | à l’expo L’Homme qui marche et Croquis au Salon d’art de Palaiseau.

    Et bien j’ai eu envie de faire pareil pour l’exposition en ligne « Autour du noir« .

    D’après Valem, Mélancolie

    Puisque c’est une expo sur le noir, je me suis dit que j’allais faire un croquis à la pierre noire (le crayon le plus noir qu’on puisse trouver). Je ne sais pas si je me suis rendue service car les subtilités de tons sont plus difficiles à faire, je trouve. Mais bon, c’est tellement beau la pierre noire.

    D’après João, Méphisto

    Ça s’était rigolo, je ne crois pas que je l’ai souvent fait : j’ai fais un croquis d’après une de mes calligraphies. J’ai essayé de la traiter par la forme et non par les lettres. Elle s’y prête plutôt bien d’ailleurs. Le résultat me fait penser à une calligraphie asiatique (bon, moi, ça m’évoque même une pagode mais je m’emballe un peu 😀 ).

    D’après Devenir heureux

    Exercice périlleux pour moi qui ai du mail avec les ombres, ne pas dessiner la lumière mais la laisser en réserve, etc. : j’ai repris un dessin blanc sur fond noir et l’ai dessiné au noir sur fond blanc. Surprise, ça n’est pas très réussi 😀

    D’après Valem, n-3

    Les sculptures de Valem m’inspirent beaucoup. Là, j’ai voulu tenter de rendre une impression plus que de redessiner la forme (bon, c’est ce que j’ai tendance à faire souvent, plutôt par facilité, allez-vous me dire 😀 )

    D’après Valem, Quand vient l’orage

    Vous ne voulez pas tenter et m’envoyer vos croquis que je les rajoute là ? 😉

    Mise à jour – 22/11/20 : Popolon s’est prêté au jeu !

    Popolon – D’après Sébastien Boulay, Cocon

    À propos de cette expo, voir Autour du noir – Exposition

  • L’anecdote de Florence

    L’anecdote de Florence

    L’année dernière, il y a eu une exposition sur Gemito au Petit Palais. Je ne connaissais pas du tout ce sculpteur mais, sur les recommandations de mon prof de modelage et parce qu’il y avait en parallèle une exposition que je voulais voir, j’y suis allée.

    Bien m’en a pris, j’ai beaucoup aimé, fait quelques croquis, ai pu la recommander à d’autres, etc.

    Je ne suis pas la seule a qui elle a plus puisque Sabine, de mon cours de modelage, s’est lancée sur une reproduction du pêcheur de Gemito (on peut voir son travail en cours sur le site de l’APSP)

    Or, cet été, en faisant un peu de rangement, je me suis tombée sur les souvenirs que j’avais ramenés de mon voyage à Florence, en 1999 J’avais totalement oublié mais j’avais raconté mon voyage, jour par jour.

    Et voici ce qu’il y avait de noté le 22 septembre :

    J’ai aimé le petit pêcheur (Il Pescatore) que j’ai pris en photo sans noter le nom de l’artiste (inconnu pour moi)

    Vous l’avez peut-être déjà deviné, ce sculpteur « inconnu pour moi », était Gemito ! Et cette sculpture pour laquelle j’ai eu un coup de cœur il y a vingt et un ans, est ce fameux petit pêcheur napolitain !