Le site 24 jours de web est comme un calendrier de l’avent où les chocolats sont des articles de blog qui parlent du web.
Chaque jour, un article est mis en ligne et le lecteur est invité, s’il le souhaite, à profiter de sa visite pour donner des sous à une association, car c’est avant tout un projet pour Noël.
J’ai été amenée à participer à cette jolie initiative et j’ai calligraphié une citation du créateur du web, Tim Berners-Lee.
Je vous invite à aller la voir sur le site de 24 jours de web.
Voir, ci-dessous, une version dégradée :
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Les actualités artistiques de Delphine M., peintre calligraphe
Décembre 2018
Une newsletter qui tourne beaucoup autour des expositions : les miennes, les autres, à venir, passé.
Par exemple, tout se bouscule en ce début d’année : trois différentes expo à venir en à peine plus d’un mois !
Beaucoup d’actualités autour des expositions : le Salon d’art de Palaiseau en décembre et d’autres projets en cours de finalisation ; le catalogue de l’exposition de septembre, une commémoration de l’Armistice…
Nos prochains rendez-vous
Le Salon d’Art de Palaiseau aura lieu du 1er au 9 décembre. J’y exposerai cinq tableaux et un dessin.
Le vernissage a lieu le samedi 1er décembre, à partir de 19 h.
Une exposition individuelle se prépare aussi du 10 au 24 janvier 2019, à Igny.
D’autres projets sont en cours mais non finalisés : un salon de Noël, une exposition de dessin avec un des miens… mais tout ça reste encore hypothétique.
Catalogue de l’exposition
Il reste des exemplaires du catalogue de l’exposition de septembre, avec Jean-François Renauld. Si vous en voulez un, c’est le moment !
L’exposition À travers un rayon de soleil vient de se terminer. Elle a réunit, du 15 au 23 septembre, 79 tableaux à la Halle Mandela, à Longjumeau.
Jean-François Renauld, le photographe qui co-exposait et moi, souhaitons avant tout remercier le Service Culturel de Longjumeau et la mairie de nous avoir accueillis dans ce très beau lieu. (suite…)
Voici trois livres sur la calligraphie. Seulement trois, mais ils ont été choisi avec soin et me sont souvent utiles. Le premier, de toute façon, est LA référence 😉
Allez savoir pourquoi j’aime autant la gothique rotunda.
Si j’y réfléchis, je me dis que c’est probablement parce qu’elle est à la fois robuste et ronde. Elle a de la douceur, mais aussi de la force, une présence bien ancrée (et bien encrée ?) C’est curieux, je réalise que ce que j’aime dans cette écriture la rapproche de ce que j’aime dans le roman (une période qui précède le gothique et qu’on lui oppose parfois). J’aime les églises et cloîtres romans pour les mêmes raison : ce côté robuste, simple mais tout de même rond et chaleureux (tout ça reste subjectif). Or, en creusant un peu, j’apprends que cette écriture a été mise au point par des scribes italiens qui rejetaient globalement le style gothique, à une époque où il s’étendait en Europe, et qui ont créé une écriture faisant la synthèse entre les gothiques et la caroline, une écriture bien plus ancienne. (Bon, ça c’est en gros ; pour le détail, je vous renvoie au livre de Claude Médiavilla dont la référence est ci-dessous.)
Les abécédaires sont comme de bons amis sur qui on peut compter. J’y reviens souvent car ma main y trouve une très grande liberté. C’est un équilibre idéal pour moi. D’une part, il y a le geste qui se laisse emporter par le plaisir de tracer. De l’autre, un cadre à respecter, suffisamment strict pour obliger à la composition et, un minimum, le suivi des traits des lettres. (suite…)